En thermes de climat, la rhétorique de tous les “écologistes” politiques auto-proclamés (les nucléarisés, les sarkozystes [17], les modemistes, les hulotistes, les algorites, les benditistes, les verts, les verts de grise mine…) a succombé au syndrome du court-bouillon: une pincée d’hystérie, un zeste d’apocalypse, un soupçon de titanic, une poignée de réfugiés (pas trop gras), une démesure de courbes louches, une louche de science bidon et un bidon de combustible fossile. Le tout assaisonné de mensonges, d’allégories et d’anathèmes. Bien agiter à l’intox. Mijoter à la culpabilité. Servir réchauffé.
Le réchauffement climatique anthropique, à la sauce CO2, est devenu, selon les écolo-thermistes de tous poêles, l’urgence écologique primant sur toute autre considération. La Planète brûle!!! Le GIEC annonce 2°, 4°… Qui dit mieux? James Lovelock! Il mise, d’ici 2016-2020, sur 5 à 6°C d’augmentation de la température planétaire. La fournaise, les feux de l’enfer, un retour de flammes karmique! Selon Sir James, il ne restera plus d’autres solutions à l’humanité que d’aller s’installer aux Pôles. Et de ne plus faire d’enfants. Au nom de la protection de Gaïa.
C’est la panique: la crise climatique, l’urgence climatique, l’ultimatum climatique, l’alerte climatique, le péril climatique. Les Verts prônent l’union sacrée: selon Cécile Duflot, «le réchauffement climatique dépasse tous les clivages politiques» [01] et Daniel Cohn-Bendit en appelle à de «nouvelles majorités». Au nom de la protection du climat.[02]
Le climat serait-il donc le ferment d’un nouvel humanisme ou de nouvelles alliances? Qu’on en juge: les pompiers humanitaires se sont tous précipités à l’appel des écolo-thermistes… pour refroidir la planète!
En thermes de climat, la rhétorique de tous les “écologistes” politiques auto-proclamés (les nucléarisés, les sarkozystes [17], les modemistes, les hulotistes, les algorites, les benditistes, les verts, les verts de grise mine…) a succombé au syndrome du court-bouillon: une pincée d’hystérie, un zeste d’apocalypse, un soupçon de titanic, une poignée de réfugiés (pas trop gras), une démesure de courbes louches, une louche de science bidon et un bidon de combustible fossile. Le tout assaisonné de mensonges, d’allégories et d’anathèmes. Bien agiter à l’intox. Mijoter à la culpabilité. Servir réchauffé.
Le réchauffement climatique anthropique, à la sauce CO2, est devenu, selon les écolo-thermistes de tous poêles, l’urgence écologique primant sur toute autre considération. La Planète brûle!!! Le GIEC annonce 2°, 4°… Qui dit mieux? James Lovelock! Il mise, d’ici 2016-2020, sur 5 à 6°C d’augmentation de la température planétaire. La fournaise, les feux de l’enfer, un retour de flammes karmique! Selon Sir James, il ne restera plus d’autres solutions à l’humanité que d’aller s’installer aux Pôles. Et de ne plus faire d’enfants. Au nom de la protection de Gaïa.
C’est la panique: la crise climatique, l’urgence climatique, l’ultimatum climatique, l’alerte climatique, le péril climatique. Les Verts prônent l’union sacrée: selon Cécile Duflot, «le réchauffement climatique dépasse tous les clivages politiques» [01] et Daniel Cohn-Bendit en appelle à de «nouvelles majorités». Au nom de la protection du climat.[02]
Le climat serait-il donc le ferment d’un nouvel humanisme ou de nouvelles alliances? Qu’on en juge: les pompiers humanitaires se sont tous précipités à l’appel des écolo-thermistes… pour refroidir la planète!
Dominique Guillet